NOS VALEURS
DÉONTOLOGIE
Décret n°2005-790 du 12 juillet 2005 relatif aux règles de déontologie de la profession d’avocat.
LA RELATION AVOCAT / CLIENT
L’HONORAIRE
MENTIONS LÉGALES
CONDITIONS GÉNÉRALES D’UTILISATION
POLITIQUE DE COOKIES
Les avocats du cabinet s’engagent à mettre en œuvre les compétences qui sont les leurs dans les intérêts de leurs clients et ce sans réserve.
La ligne de confiance entre l’avocat et le client doit être absolue. C’est ainsi que le client doit tout révéler à son avocat, soumis au secret professionnel.
Le traitement de tout dossier juridique ou judiciaire suppose une coopération étroite entre l’avocat et le client sous forme de rendez-vous ou d’échanges d’écrits en temps et en heure.
L’avocat s’engage à donner à son client une analyse objective du dossier juridique ou judiciaire qui lui est confié et ce à tous les stades de son évolution.
L’avocat n’est pas soumis à son client, ce qui lui procure indépendance et objectivité dans les intérêts de ce dernier.
Le client est toujours le maître de son dossier, ce qui signifie qu’après avoir reçu les conseils de son avocat il peut soit lui donner instructions de les mettre en œuvre, soit les refuser.
L’avocat déchargera alors sa responsabilité s’il estime que ce refus est de nature à compromettre la bonne fin du dossier.
Le client peut aussi à tout moment mettre un terme au mandat qu’il a confié à l’avocat.
De même l’avocat peut, en faisant jouer la clause de conscience, refuser un dossier juridique ou judiciaire qui lui est présenté par le client, ou mettre un terme au mandat que le client lui a confié.
L’HONORAIRE
Les avocats du cabinet fixent les honoraires à l’issue du premier rendez-vous.
Ils sont fonction de la complexité de l’affaire et du temps à y consacrer.
Ils peuvent être fixes, sous forme de provisions, ou encore fixes, doublés d’un honoraire de résultat, selon l’enjeu du litige.
Aucun autre honoraire n’est alors appelé, quel que soit le nombre de phases procédurales.
L’honoraire de résultat n’est perçu qu’après une décision de justice devenue définitive, lorsque les sommes octroyées ont pu être récupérées.
Une autorisation de prélèvement en CARPA (Caisse Autonome des Règlements Pécuniaires des Avocats) est signée par le client au bénéfice de l’avocat, basée sur la convention d’honoraires signée à l’ouverture de la cause entre l’avocat et le client.
Les dossiers juridiques sont quant à eux facturés par honoraires fixes exclusivement.